Les bijoux Didariel combinent le talent de deux hommes, le père sculpteur et écrivain Nicolas Dariel et le fils Joachim Dariel. La perle noire de Tahiti est un des points sur lesquels cette famille d’artistes se retrouve. Combinée aux sculptures en marbre de Carrare de Nito (le père) la perle noire Tahiti est produite dans la ferme perlière de Jök (le fils).
Comment s’obtient cette perle noire d’élevage ?
Perle noire Tahiti : de la patience avant tout
En premier lieu, l’huître perlière « Pinctada margaritifera » sert de réceptacle. Tout d’abord, on dépose une bille de nacre et un éclat de manteau d’une nacre donneuse dans l’huître perlière.
Cet ensemble appelé « greffon » va se fixer sur l’huître. Un sac perlier va progressivement se constituer. Il entoure complètement le greffon.

Toutefois, ce traitement ne prend pas de manière systématique. 10% des huîtres greffées meurent peu après l’opération. Dans les deux années qui vont suivre, 10 % supplémentaires périssent. En outre, encore un tiers des huîtres restantes rejettent la greffe. De plus, 20% des huîtres greffées donnent naissance à une perle sans intérêt. A l’arrivée, 30% seulement des huîtres utilisées produisent une perle utilisable. Seul 1 ou 2 % de ces perles seront classifiées parfaites et obtiendront la qualification A.
Par ailleurs, ces perles noires se vendent très chères selon leur degré de classification. Elles servent particulièrement en joaillerie et dans le secteur de la mode. Jean-Paul Gauthier et Karl Lagerfled les ont utilisé très souvent dans leurs créations.
Pour conclure, retrouvez tout de suite les bijoux d’artistes de Nito et Jök sur le site didariel.com.